La rosacée, des rougeurs à traiter
Des rougeurs transitoires qui marquent le nez et les pommettes, des vaisseaux dilatés qui engendrent de la couperose, des boutons inflammatoires qui se manifestent sur les joues et les ailes du nez.. sont les signes d’une rosacée, apparaissant à la quarantaine. Est-ce grave ? Non, pas vraiment « sauf que le mal est chronique, évolutif », et que, lorsqu’il atteint le stade dit papulo-pustuleux, il se caractérise par la présence de boutons disgracieux. Cela dit, « la progression du mal est imprévisible et dépend de chacun », indique-t-on dans les colonnes du « Figaro Magazine ». Plusieurs remèdes existent. Parmi eux : des produits spécifiques, le laser vasculaire… « Une seule séance peut parfois suffire », lit-on encore. « Il ne faut surtout pas négliger cette maladie car à son niveau le plus grave et le plus rare (…), la peau du nez se fibrose, s’épaissit, et le nez, rouge et bosselé, augmente de volume. Dans ce dernier cas, le seul recours est la chirurgie réparatrice ou le laser en procédant à l’ablation d’une partie de la peau hypertrophiée ». Mieux vaut donc être prévenu.
Photo : « Le Figaro Magazine », édition du 10 octobre.