Alopécie et greffe de cheveux : informations générales

La beauté est une notion toute relative. Les critères qui la déterminent dépendent de l’époque, du lieu, de la société envisagés. Néanmoins, il semblerait que la chevelure soit l’un des traits immuables qui caractérisent ce concept socioculturel : des cheveux soyeux et denses ont de tout temps été source de beauté. Dès lors, on peut aisément comprendre que la perte de cheveux puisse être à l’origine de troubles psychologiques et de perte de confiance en soi.

Pour régler votre problème de calvitie, la greffe des cheveux est une solution efficace. Particulièrement si elle est réalisée au sein d’une clinique spécialisée.

La perte de volume capillaire constitue un signe d’alopécie. Selon les individus, la perte de cheveux peut être plus ou moins rapide et le résultat final diffère d’une personne à l’autre.

La perte de cheveux se manifeste majoritairement chez l’homme, sous le nom de calvitie. La plupart du temps, son origine est héréditaire : on la nomme alors alopécie androgénétique puisqu’elle puise sa source dans les androgènes et dans les gènes hérités de notre famille.

Fabriqués par les testicules ou les ovaires (soit les gonades mâles et femelles) et les glandes surrénales, les androgènes (et plus particulièrement la testostérone) interagissent en effet avec une enzyme pour créer la DHT, facteur déclenchant de la calvitie.

Les facteurs génétiques peuvent être amplifiés par le stress, les carences et déséquilibres alimentaires. Les maladies, les régimes drastiques, les médicaments ou certaines opérations (précédées d’une anesthésie notamment) peuvent également contribuer à la perte des cheveux, tout comme l’accouchement dans le cas de la femme. Enfin, plus rarement, certaines inflammations (pelade, lupus) sont cause d’alopécie.

L’alopécie peut se transmettre chez l’homme comme chez la femme, affecter diversement différentes générations ou différents membres d’une même famille, sans qu’il ne soit possible de déterminer à l’avance le résultat final d’une chute des cheveux chez un individu.

Une alopécie héréditaire se manifeste après la période pubère et représente 90 % des causes de calvitie chez l’homme et 75 % des causes de calvitie chez la femme.
Les zones touchées chez l’homme sont principalement situées à l’avant du crâne et sur la couronne. L’arrière et les côtés du crâne sont dans la majorité des cas peu sujets à l’alopécie.

Aussi, de très nombreuses femmes sont confrontées à des pertes de cheveux plus ou moins prononcées et la cause est bien souvent héréditaire. Contrairement à l’homme, l’ensemble de la tête peut être concerné.

Les adolescents peuvent également subir des pertes de cheveux, particulièrement vers l’âge de 18 ans, moment où les androgènes se développent.

Un cycle capillaire s’étend entre deux et six ans. Les cheveux ont quant à eux une durée de vie d’environ 25 cycles.

Néanmoins, il est tout à fait normal de perdre entre 75 et 125 cheveux par jour. Certains sont en phase télogène, ou phase dormante, tandis que d’autres sont en phase anagène, ou phase de pousse. Ainsi, en théorie, la quantité de cheveux reste constante.

Dans le cas d’une alopécie, certains cheveux (localisés à certains endroits particulièrement propices à l’alopécie) disparaissent petit à petit. On observe une réduction du nombre de cheveux par follicule. Les cycles raccourcissent, s’épuisent et la masse capillaire se réduit.

La perte des cheveux peut avoir des origines aussi diverses que la génétique, la médication, le stress mais n’est en aucun cas une maladie. Dans certains cas, elle peut être retardée par des traitements médicamenteux tels que le Finastéride et le Minoxidil. Néanmoins, seules les transplantations de type FUT et FUE s’inscrivent indubitablement dans la durée et vous confèrent un résultat à la hauteur de vos attentes

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